Le programme Essaye la Crosse a été réalisé grâce à une initiative envoyée par Sport Canada. Le financement du programme communautaire pour tous nous a permis de créer ce programme Essaye la Crosse dans certaines de nos plus petites associations membres. La mise en œuvre de notre programme CSIA nous a permis de nous connecter avec nos associations membres responsables des programmes de base et de l outreach dans les communautés sous-représentées de chaque province. Nous avons pu apporter des programmes Essaye la Crosse à six de nos petites associations membres qui les ont offerts aux filles, aux communautés autochtones, aux filles BIPOC et aux nouveaux arrivants au Canada. Ces programmes ont soutenu l’équipement pour le développement futur des programmes dans ces communautés. Cela a permis à nos animateurs de travailler avec les jeunes pour leur enseigner les compétences de base de la crosse dans une atmosphère amusante et accueillante. Nous avons partagé notre passion pour notre sport avec eux et leur engagement dans les séances a inspiré ceux qui les ont animées. Souvent, ce groupe de participants provient de milieux à faibles revenus et, en offrant un soutien pour les déplacements vers les lieux, nous avons levé ces barrières. Ceux qui ont assisté aux séances étaient très reconnaissants et les sourires sur leurs visages illustraient la valeur de partager le sport avec ceux qui n’ont souvent pas accès à ces activités. Ce financement nous a aidés à créer des éléments de legs pour soutenir le développement et la mise en œuvre des futurs programmes. Nous sommes reconnaissants d'avoir eu cette opportunité de financement pour "faire croître notre jeu" et partager son origine autochtone en tant que "le jeu du Créateur".
Cette initiative a permis à nos plus petites associations membres d’offrir des programmes qu’elles n’auraient autrement pas pu se permettre. Pour des sports comme la crosse, historiquement dominés par les hommes, nous avons pu atteindre des populations mal desservies de filles, de jeunes autochtones, de nouveaux arrivants au Canada, ainsi que des filles BIPOC pour nous aider à devenir plus inclusifs et diversifiés. Les programmes nous ont aidés à sensibiliser aux opportunités EDIA et ont rendu les programmes Essaye la Crosse abordables.
Avec ce programme, nous avons pu atteindre environ 350 nouvelles athlètes féminines dans 12 endroits différents. Notre objectif principal était les programmes pour filles, car nous continuons de faire des progrès dans le jeu féminin. Nous avons également inclus des programmes mixtes pour les nouveaux arrivants, les communautés BIPOC et les programmes dans les communautés autochtones. Ce type de programme est ce qui unit les communautés de la crosse en apprenant les uns des autres sur leurs cultures, leurs origines et en se soutenant à travers les barrières linguistiques, etc. Dans certains cas, des participants se sont inscrits à certains des programmes de crosse en saison offerts. Nous croyons que les racines du sport sont le fondement de la crosse dans notre pays, et ce programme nous a permis de faire croître le jeu dans des endroits où ils n’auraient peut-être pas eu l’opportunité auparavant.
En plus du programme lui-même, nous avons également créé une vidéo Essaye la Crosse qui couvre les compétences de base utilisées en crosse. Cette vidéo peut être utilisée pour montrer aux différentes communautés diverses ce qu’est notre sport national d’été et leur ouvrir une porte d’entrée vers notre sport. La vidéo inclut également tous les contacts de nos associations membres afin qu’elles aient un chemin direct pour pratiquer leur sport dans leur province respective.
Vous trouverez ci-dessous notre première vidéo Essaye la Crosse, accompagnée de quelques exercices pour débutants et d’un processus pour éliminer les barrières dans la crosse. Si vous avez des questions supplémentaires sur ce programme, veuillez contacter admin@lacrosse.ca
Un grand merci à Carolyn Toll et Cheryl McNeil pour leur aide à entraîner les nouveaux joueurs et pour nous avoir aidés à créer cette vidéo.
Vidéo filmée par Neville Madill